Grèce : 22 au 29 août 2006

Athènes : Acropole, Parthénon, Caryatides et Musée

Premier jour (mercredi 23 août) : nous sommes arrivés la veille à l'hôtel Olympic Star, à Eubée, et nous sommes inscrits pour une journée à Athènes. Réveil 6h30, départ en bus 7h30, pour deux heures de trajet. Super beau temps.
 
A Athènes, la guide nous rejoint : Isperanza (ou un nom de ce genre, qui signifie "Espérance"...). Sympa, archéologue, mais il suffit de s'arrêter pour prendre une photo pour ne plus savoir où est passé le groupe... Nous commençons par un tour en car dans Athènes.

Isperanza

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Athènes vue de l'Acropole. Au premier plan, temple de Théséion.
 


 
Acropole - La ville d'en haut
 
L'Acropole est une colline. Pas l'accro du pôle, genre Etienne... Acro (haut, comme "acrobate") + "Polis" (la ville) = "la ville haute" , au sommet de laquelle a été construit le Parthénon. En montant, on découvre un beau panorama sur Athènes. La moitié des grecs vivent ici.

 

L'Odeon d'Hérode Atticus
 
Construit en 161 après JC, grâce au (très) riche financier qui lui a laissé son nom.
 
C'était en souvenir de sa femme.
 
Toujours en service : aujourd'hui, en été, représentations théâtrales et folkloriques.

 

Les Caryatides
 
Un sculpteur a eu l'idée de remplacer les colonnes traditionnelles par des femmes, dans l'attitude des porteuses d'eau que l'on pouvait voir dans le petit village de Caryatis (ou un nom dans ce genre, que je n'ai pas retrouvé). En fait, ce sont des copies. Les originaux sont au Musée de l'Acropole (ci-contre), sauf une : Emportée par Lord Elgin en Angleterre. Et les grecs ne sont pas contents. En effet, Tony Blair avait promis de la rendre, mais c'était avant d'être élu (il y a pas mal de Grecs en Angleterre...)

 


 
Le top : le Parthénon
 
En haut de la Voie Sacrée (et de gros bouchons de piétons), on arrive au sommet de l'Acropole, le Temple de la grande déesse Athéna Parthénos, protectrice d'Athènes. L'architecte Ictinos (et le décorateur Phidias) ont eu du génie : les colonnes ne sont pas vraiment verticales, mais légèrement pyramidales. Ainsi, la perspective augmente l'impression de hauteur, et la stabilité est améliorée. C'est ainsi que le Parthénon a résisté aux tremblements de terre, fréquents dans la région. Et j'ai réussi à prendre une photo en évitant les échafaudages (qui, d'ailleurs, sont curieusement vides d'ouvriers...).

 
Le Musée de l'Acropole

 

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