Russie - 28 mai au 7 juin 2005

Moscou : le point de départ

"La place Rouge était vide. Devant moi marchait Nathalie. Il avait un joli nom, mon guide  Nathalie"... En fait, il y avait plutôt du monde sur la place Rouge, mais pas trop. Je m'attendais à une ambiance un peu soviétique, donc grise et froide, et il y avait un soleil et un ciel italien. Et à Moscou, il n'y a pas que la place Rouge et le Kremlin : il y a aussi des gens, des églises, des poètes statufiés. Le point commun avec la chanson de Bécaud, c'était notre guide (pas Nathalie, mais Natacha), quinquagénaire super sympa, sans langue de bois, capable de dire "J'entrave que dalle" quand elle était en confiance.

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Voilà le début de la place Rouge !
 
Non, pas de soldats de garde (ils sont assez loin). Le Kremlin, on va se renseigner, il est à deux pas. En fait, la première chose que l'on voit est cette magnifique église de Saint Basile le Bienheureux.
 
Première fausse idée à corriger : pendant les 70 années soviétiques, les églises (et même la pratique religieuse orthodoxe) ont été interdites, mais respectées. Ici, on ne trouve pas de statues décapitées, comme dans nos cathédrales après la Révolution française.
 
D'accord, les églises ont servi d'entrepôts, pour stocker du blé ou même élever des cochons, mais après un bon coup de Karcher, elles sont de nouveau (plus que) présentables.

 
Au choix, beaucoup de statues : classiques, romantiques ou actuelles : ce poète qui a l'air si vivant est le "Georges Brassens" russe.

 

Tout celà à quelques dizaines de pas les uns des autres
 

 
La cathédrale de Kazan, juste derrière la place Rouge
 

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